Mise
à jour le 27 septembre 2013 suite à faits nouveaux: voir
fin de page
AU
REVOIR MONSIEUR MUHLBERGER!
Lettre
au Directeur de la Sûreté Publique, Monsieur
André Muhlberger
Pendant le déni de
justice aussi flagrant que persistant dans le présent
scandale, la Sûreté Publique se dota d’un
nouveau chef, Monsieur André MUHLBERGER.
Ci-dessous, le lecteur pourra prendre acte d’une lettre
envoyée audit directeur.
Il n’a pas daigné y répondre!
La Sûreté Publique fut avertie dès le 13
mai 2004 de la personne nommée Charlotte Shahzada, et
de ses intentions criminelles.
Or non seulement les autorités allaient lui obéir
en ses moindres caprices criminels. Elles lui laissèrent écrire
en son nom sur l’en-tête du papier à lettre
d’un avocat-défenseur monégasque, Me Didier
Escaut, de façon unilatérale.
Ainsi, le Vice-Président du Tribunal, Madame Brigitte
GAMBARINI alla prendre pareille monstruosité de
document comme un ordre, ce qui donna lieu à
l’Ordonnance criminelle dite Gambarini,
désormais connue de l’actuel Ministre d’État,
Monsieur Michel ROGER, ayant répondu à des demandes
d’instructions à cet égard.
L’incriminée Gambarini a manifestement pris les
ordres d’un escroc, et ce sous les formes les plus éloignées
de toute procédure juridique.
La nommée Brgitte Gambarini fait l’objet de plaintes
criminelles en cours.
Madame Gambarini est désormais
Président du Tribunal, après que Monsieur Philippe
NARMINO, responsable numéro 1 depuis le début dans
la présente, pris les fonctions de Directeur des Services
Judiciaires.
Madame Gambarini a agi dans le cadre de cambriolage soutenu
par l’État, avec chantage à l’échelon
international et avec faux en écritures publiques commis
par des officiers ministériels publics qui s’appuyent
sur son ordonnance criminelle.
Le nommé Philippe Narmino, Président de
la Croix Rouge monégasque, Président
du Conseil d’État, Directeur des Services Judiciaires,
Ministre Plénipotentiaire (c a d qui par arrêté signé de
lui seul donne droit à un membre du Parquet de se substituer à lui,
en contradiction avec l’article 5 § 3 de la Convention
Européenne des Droits de l’Homme), membre de l’ex
Ambassadors’ Club, Président du nouveau Haut Conseil
de la Magistrature, détenteur des pleins pouvoirs à Monaco,
au dessus de ceux du Ministre d’Etat, entre autres, chef
du judiciaire comme de l’exécutif fait également
l’objet d’une plainte pout fausse attestation.
Le Tribunal Suprême ne niant pas les faits de la présente
affaire, c’est une soixantaine de victimes qui
allaient subir les frais de la sourde oreille sélective de la Sûreté Publique,
ainsi que de sa participation active à la possibilité pour
la désormais condamnée d’entreprendre sa
carrière criminelle en Principauté.
Certains inspecteurs de police ont fait part de leur frustration
dans la présence, notamment en ces mots: "Une
fois arrêtée
et détenue, sa mise en liberté [de Charlotte Shahzada]
n’a certainement pas facilité l’enquête
!"
Si la Police a tout fait pour ne pas enregistrer les plaintes
de Madame Monica Fristedt et de son fils, Madame Fristedt – dépourvue
de logement de par les crimes dont elle venait d’être
victime – allait séjourner à l’Hôtel
Colombus (ex Hôtel Abela). Dès son arrivée
audit hôtel, elle fut notifiée par la police, qui
la suivait, assez maladroitement, qu’elle devait comparaître
pour « des faits lui concernant » à la Sûreté Publique.
Il s’avéra qu’il s’agissait d’une
grossière tentative d’intimidation qui échoua.
Par contre, Madame Monica Fristedt en profita de confronter la
Police avec l’ensemble du dossier, et signa une plainte
hors du commun. Mais, cela étant, la Police (André Muhlberger)
refuse à ce jour, de donner copie de dite plainte.
En effet, elle demeure inconnue du Tribunal Suprême (dont
l’un des juges n’est autre que l’actuel Ministre
d’Ètat, Monsieur Michel Roger, qui n’a pas
voulu entendre les policiers appelés à témoigner
de son existence même (de la plainte contre les agents
de police).
Il convient à cet égard et pour cause de constater
que la police refuse de prendre les plaintes de leurs résidents
préviligiés (PR, sur la Carte de séjour)
de longue date, lors de cambriolages.
Même l’actuel Conseiller pour les relations Extérieures,
alors Conseiller pour l’Intérieur, Monsieur José BADIA,
essaya par écrit de diminuer la valeur des griefs ainsi
que de leur sérieux dans le recours désespéré à son
encontre par Madame Fristedt, en se subsistuant à l’action
publique, et à la devise selon laquelle le
pénal
l’emporte sur le civil.
Il prend désormais
la relève du dossier infecté de feu
Monsieur Rainier IMPERTI, ce que nous ne manquerons
pas de suivre, s’agissant
des infractions continues et/ou continuées, notamment
dans l’Affaire des agrafes, du stylo marqueur et
du "bug informatik".
Le Tribunal Suprême invoque à tort l’inexistence
de plainte contre des agents de police.
Ce même Tribunal Suprême, qui confirme les faits,
se manifeste à tort lors d’un arrêt nul de
plein droit, vu que le procureur général avait
bel et bien enregistré les plaintes contre la police elle-même,
condition sine qua non, mais que ledit procureur géneral
ne communica pas l’intégralité du dossier
au Tribunal Suprême, car mis en cause lui-même, et
obéissant sous Monsieur Narmino, également mis
en cause, et cité comme témoin à son tour,
dans le cadre de lèse-Majesté.
Monsieur André Muhlberger était cité comme
témoin devant le Tribunal Suprême. Sa comparution
fut refusée, tout comme l’ensemble des témoins,
rendant par la même à ce scandale son caractère
continu et/ou continué.
Voici la lettre à laquelle Monsieur André Muhlberger
n’a pas daigné répondre, laissant par là-même
libre cours à la carrière criminelle de Charlotte
Shahzada, avec des effets bien plus préjudiciables qu’il
n’en ressort de ce
jugement.
MONICA FRISTEDT
6 Lacets Saint-Léon
MC 98000 Monaco
Adresse temporaire : [...]
Fax: […]
E-mail : [...]
Le Directeur de la Sûreté Publique
Monsieur André MUHLBERGER
La Direction de la Sûreté Publique
3 Rue Louis Notari
MC98000 Monaco
[...], le 26 octobre 2006
Objet : Vol de mes bijoux dans
mon appartement, en automne 2004
Monsieur le Directeur,
Le 3 décembre 2004 je portai plainte pour vol par-devant le Capitaine
Médard, à la Sûreté Publique.
Le 8 juin 2005 je
fus interrogée par elle dans les locaux de la Sûreté Publique,
et je signai alors une description minutieuse des faits avec photos des bijoux
volés à l’appui, ainsi qu’un certificat d’une
paire de boucles d’oreilles avec émeraudes de grande valeur (pièce
n°1). Je lui fis également par des aveux par écrit d’une
certaine Madame BOOF, ainsi que de ceux du clerc de Maître ESCAUT-MARQUET,
Madame Corinne METIVIER, desquels il ressort que ces deux personnes ont transporté mes
bijoux hors de mon appartement, le 27 juillet 2004.
Je me pose désormais des questions quant aux méthodes employées
s’agissant de l’enquête de la Police, surtout que j’ai
reçu un curieux courrier de Madame le Procureur Général
BRUNET-FUSTER, dans lequel elle écrit : " non caractérisée"
(pièce
n°2). A croire qu’elle n’a pas eu le dossier que détenait
le Capitaine Médard. .
Le 3 janvier 2005, j’ai donné par fax au Procureur Général
de l’époque, Monsieur Daniel SERDET, les noms et adresses de toutes
les personnes en relation avec la présente (état de fait prouvé)
ainsi que le nom [de la personne hébergeant] la personne qui fait l’objet
de ma plainte, Mademoiselle Charlotte SHAHZADA , dans la mesure où il
s’avère que cette dernière était résidente
sis son adresse niçoise avant, pendant et après le cambriolage
(pièce n°3).
Tant que mes bijoux et autres biens n’auront pas été retrouvés,
l’enquête policière doit impérativement se poursuivre.
Les vols en tant que tels devraient être un jeu d’enfant à résoudre,
pour quelconque policier, vu que les noms des personnes nous sont connus, mais
surtout puisque il est prouvé qu’il n’y avait qu’une
personne qui avait les clefs de mon appartement pendant la période durant
laquelle ont été commis les vols : Mademoiselle Charlotte SHAHZADA.
Cette personne travaille depuis un certain temps chez MONTE-CARLO TRAVEL MARKET
, Hôtel Mirabeau, 1 Avenue Princesse Grace à Monaco.
Elle utilise de façon illégale mon nom. Si elle a été mariée
avec mon fils David FRISTEDT, un jugement de divorce définitif a été prononcé au
printemps dernier. Qui plus est, elle semble indiquer à l’IPA
[International Police Association, Monaco] non seulement un faux nom, mais
une fausse adresse : en effet, l’IPA lui envoie du courrier chez moi,
comme si elle habitait chez moi, sur les lieux du crime! (pièce n°4).
Après une longue période sans nouvelles de la Police, et vu que
cette dernière n’avait aucunement retrouvé mes bijoux,
je priai le Capitaine MEDARD de contacter Interpol. Il semblerait qu’elle
ne l’ait pas fait (pièce n°5).
Pour cette raison, je contactai moi-même Interpol, pour leur montrer
le site web suivant:
www.bimcam.com
Interpol me donna le conseil suivant:
"You should inform
the police authorities in charge of the investigations (where you have filed
your theft
report, probably in Monaco). If they then
need international legal assistance, they dispose of the right channels to
request this, including Interpol network.”
Evidemment, des perquisitions auraient déjà dû avoir été faites
chez Charlotte SHAHZADA, mais également chez son avocat et chez l’épouse
de ce dernier, l’huissier. La personne qui travaillait pour l’huissier,
Madame Marie BOOF, qui habite en France, est naturellement une personne clef
dans la présente.
Quoi qu’il en soit, il n’est pas trop tard.
Maintenant je compte sur Vous pour attraper le voleur avec tout co-auteur ou
complice et pour retrouver peut-être les bijoux et autres biens.
Je vous prie de croire, Monsieur le Directeur, en l’assurance de ma haute
considération.
[signé]
Monica Fristedt
Pièces jointes à la présente
qui comporte deux pages: n°1: 10 pages: n°2: 1
page; n°3: 2 pages; n°4: 2 pages; n°5: 1 page.
Soit 18 pages en tout.
|
Il convient d’avoir à l’esprit le fait que c’est de
par le concours actif des autorités que la Police a choisi de fournir
un permis de travail à une personne non résidente et qui faisait
déjà l’objet de plaintes criminelles.
C’est à se demander aussi combien de preuves et d’avertissements
il incombe aux résidents préviligiés (PR) de longue
date,
victimes de crimes continus et / ou continués à Monaco de
fournir
avant que d’aucuns ne se bougent!
En effet, la famille Fristedt réside à Monaco depuis 1977.
S’agissant de la lettre ci-dessous, certains courriers de mise en garde
ont même été refusés avec retour à l’expéditeur!
Ce fut le cas d’un des courriers à Son Altesse Sérenissime
le Prince Souverain Albert II, tout comme ce fut le cas pour un courrier
destiné au cousin et filleul de dite
Altesse Sérénissime, Baron
Jean-Léonard Taubert-Natta de Massy, témoin de
mariage de David Fristedt. En effet,
le conseil du Baron en question, Maître Maxime GORRA fit de même,
c a d que le dit avocat refusa un courrier à son client en le retournant
sans
l’avoir ouvert, au grand désarroi de maintes victimes.
Monsieur André Muhlberger n’ayant pas répondu au courrier
en question, voici une traduction de la lettre de mise en garde à l'attention
d’une
des futures victimes, lettre connue à l’époque des autorités
complices.
(L’original du courrier ci-dessous fut rédigé en
anglais.)
MONICA FRISTEDT
10 janvier 2006
LR/AR
MONTE-CARLO TRAVEL MARKET
ELYSE DANINO, PRESIDENT
HOTEL MIRABEAU 1
AV. PRINCESSE GRACE
MC 98000 MONACO
Chère Madame Elyse Danino,
[...]
Vous avez une employée, Charlotte Shahzada [...]. Elle s’est
mariée avec mon fils en 2002, d’où le nom de Fristedt.
Il vont bientôt être divorcés, même si Charlotte
a essayé d’éviter le divorce ici en Suède,
en cachant son adresse aux Autorités suédoises, mais celles-ci
l’ont finalement trouvée sis votre adresse, au Mirabeau.
Charlotte Shahzada fait l’objet de plaintes près la Police
pour
1. fausses attestations devant le Tribunal de Monaco
2. tentative de chantage à mon encontre
3. cambriolage et
4. vol dans mon apartement à Monaco. Elle et / ou ses co-auteurs
et / ou complices ont volé des bijoux et autres biens de valeur
d’un montant estimé à environ 100.000 Euros.
Ceci est une affaire on ne peut plus consternante pour la Police monégasque,
et dite affaire est désormais sur la table du Procureur Général.
Cela prendra probablement un certain temps pour démontrer comment
elle a pu manipuler autant de gens, pas seulement à Monaco, mais également
en Suède. Le scandale deviendra probablement officiel d’ici
peu, même si j’aurais préféré le garder
parmi un ensemble de personnes plus restreint.
Il est impossible de manipuler autant de gens sans beaucoup de charme.
Mon fils, mes amis et moi-même sommes les premiers à admettre
combien nous avons été bernés. Mais il n’est
désormais plus question de quelqu’un qui berne les gens
de par son comportement. Cette fois, il s’agit de Comportement
Criminel.
Si Charlotte Shahzada ou pire, si elle envisage d’utiliser le nom
de Fristedt, est censée représenter Monte-Carlo Travel
Market au Grimaldi Forum, nous ne pensons pas que cela serait une bonne
publicité pour votre Entreprise.
Il y a déjà bon nombre de personnes qui sont au courant
des faits dans cette affaire et qui pensent que ce serait désastreux
si vous décidiez de laisser Monte-Carlo Travel Market se faire
représenter par Charlotte lors d’un évènement
de telle envergure.
En temps normal, j’aurais pu vous envoyer cette letter par courier électronique,
mais comme à la surprise générale vous partagez
votre addresse [e-mail] avec votre employée Charlotte Shahzada,
vous comprendrez que je suis dans l’incapacité de ce faire.
[...]
Jespère que vous verrez cette lettre comme étant de nature
privée de la part d’une amie de longue date sis Monaco.
Je ressens qu’il fut de mon devoir de vous mettre en garde.
Amicalement,
[signé]
Monica Fristedt
|
Extrait de la pièce jointe numéro 22
de la plainte
du 6 juin 2011 et HFD15 du recours devant la Cour administrative
Suprême de Suède du 5 mars 2012, d’intérêt
public vu les dernières fausses attestations nouvelles à l’échelon
international de Philippe
Narmino et de Patricia
Husson.
Commentaires sur le courrier électronique de Elyse DANINO [ci-après
ED] du 25 mars 2011 à l’attention d’une des victimes
de MONTE-CARLO TRAVEL MARKET; pour valoir ce que de droit dans l’intérêt
public international.
Son intervention est remarquable et d’intérêt
public dans des affaires criminelles continues
et / ou continuées. La Sûreté Publique
a été contactée le jour même
pour valoir ce que de droit dans mes affaires en cours.
Vu le volet suédois de la présente, je
qualifie l’intervention de ED de övergrepp
i rättssak.
Monica Fristedt [ci-après MF] a fait publier un courrier signé d’elle-même
et qui fait partie des pièces d’un dossier européen
public.
C’est en faisant jadis elle-même des recherches sur internet
qu’elle découvrit que ED, président de Monte-Carlo
Travel Market, employait un escroc sous un faux nom : le nom de famille
de MF. ED n’y a pas remédié, malgré avertissements.
Sa sourde oreille, ainsi que celle de son fils, ont valu que son entreprise
soit escroquée. ED a néanmoins donné une deuxième
chance à l’escroc. Cela s’est terminé devant
le tribunal, où l’escroc a été condamnée
pour escroqueries et pour abus de confiance. MF s’était
portée partie civile dans cette affaire. Le procureur général
sortant – le troisième dans ce scandale international – n’a
pas communiqué cela audit tribunal, tout comme ED a ommis à son
tour bien des informations à la justice s’agissant des avertissements
qui lui avaient été communiqués à elle et à son
entreprise.
Sur le site www.bimcam.com, elle peut y lire la lettre d’avertissement
au directeur de la Sûreté Publique, Monsieur André Muhlberger,
où y est nommé ce site internet.
Monsieur le Directeur des Services Judiciaires Philippe Narmino fait
l’objet d’une plainte pour fausse attestation s’agissant
d’avoir contribué à ce que l’escroc continue à travailler
chez Monte-Carlo Travel Market en commettant ses infractions sous mon
nom, donc celui précédé par « Madame »,
s’agissant des dommages ainsi causés notamment à MF.
En effet, l’escroc n’avait pas le droit de porter ce nom,
ce que confirme la Mairie de Monaco, prouvant ainsi la fausse attestation
de Monsieur Narmino.
Comme devrait le savoir ED, le jugement ne fait état que de trois
victimes, alors qu’elles se comptent par dizaines, au bas mot.
Ces victimes ont un droit d’information. Le fait pour certaines
autorités de ne pas vouloir instruire des plaintes ont abouti
en un procès juridiquement étranger à ma personne
et dont les pièces sont devenues publiques. Sont-ce ces pièces
dont je me prévaux à mon tour.
Il est d’intérêt public de savoir
quelles sont les entreprises à Monaco qui en connaissance de cause
emploient des criminels. ED devrait être d’accord avec cela.
Il est d’intérêt public de savoir
que les crimes continuent à ce jour.
Grace entre autres à ED, l’escroc a bénéficié du
sursis. L’escroc – plein de confiance – est désormais
présent sur Facebook, encore sous un faux nom.
Il est d’intérêt public de connaitre
le rôle de Monte-Carlo Travel Market dans le plus grand scandale
qu’ait connu le pays depuis 1297, surtout que, en tant que président
de l’entreprise en question, ED a le culot d’exercer des
pressions pour que MF limite ses droits consacrés par la déclaration
universelle des Droits de l’homme.
Il est d’intérêt public de
savoir que du chantage à l’échelon international à l’encontre
de moi et des miens ont eu lieu par une des employés
de Monte-Carlo Travel Market, qui utilisait à tort
le nom de famille d’une de ses victimes.
Parlant d’internet, Monte-Carlo Travel Market afficha ce faux nom
avec la photo de l’escroc sur le site web de l’entreprise.
Le fait que le président
de Monte-Carlo Travel Market partageait la même
adresse de courrier électronique – e-mail – que
son escroc d’employée fut la raison pour
laquelle aucun avertissement ne put avoir lieu par courrier électronique.
Cela signifie aussi que toute correspondance entre ED
et ses clients a pu être interceptée et
copiée par l’escroc, qui – il convient
de le souligner – n’est qu’en liberté provisoire
sous astreintes. Cette situation peut vraissemblablement
donner lieu à des situations nouvelles de chantage – si
ce n’est déjà le cas - outre les
chantages en cours, au détriment de Monte-Carlo
Travel Market tout comme de ses clients, anciens ou futurs.
Il est d’intérêt pour Monte-Carlo
Travel Market et ses clients, que ED formule le souhait de
se porter partie civile dans la plainte contre Monsieur Philippe
Narmino signée de moi-même, et dont
copie a été envoyée notamment à deux
chefs d’État. En effet, c’est ce qui sera
sur la table du nouveau procureur général.
Monte-Carlo Travel Market avait en premier lieu été signalé à Monsieur
le Procureur de la République à Nice, [Eric
de Montgolfier] compétent vu la résidence
réelle de l’escroc. Plusieurs chefs d’États
sont désormais concernés. Je note qu’en
aucun cas ED ne s’est montrée intéressée
pour s’informer d’avantage.
Après la conversation téléphonique que son fils,
travaillant aussi dans l’entreprise, eut avec moi, ED n’as
pas agi, et elle et ses clients se sont fait escroqués. En connaissance
de cause, elle n’a pas jugé bon de me contacter, notamment
avant d’ester en justice. C’est cela qui devrait intéresser
ses clients, vu que dans son courrier électronique, objet de la
présente, elle fait de la publicité pour son entreprise
(je n’en reviens toujours pas).
Monte-Carlo Travel Market a contribué à la criminalité à Monaco,
et à ce qu’elle ait eu lieu en mon nom, ainsi qu’en
celui de ma mère notamment, vu le mot « Madame » qui
précède le nom. MF en a subi un dommage qu’il conviendrait à ED
de réparer, ne serait-ce que pour prouver une éventuelle
bonne foi. Si MF ne lui a encore rien demandé, le courrier
de ED m’a passablement irrité, et je le place comme une
pièce nouvelle dans « l’Affaire des agrafes, du stylo
marqueur et du bug informatik », dossier du nouveau procureur général,
ainsi que du Conseiller pour les Relations Extérieures, Monsieur
José BADIA.
Copie du jugement contre l’escroc a été demandé par
un membre du Conseil de la Couronne.
La Cour Européenne des Droits de l’homme a gardé le
dossier de la présente public pendant un an. ED était libre
de le consulter. Maintenant, c’est entre autres moi qui l’ai, à moins
qu’autrui n’ait exercé le droit d’en prendre
copie près ladite Cour dans les délais. Des journalistes
l’ont aussi, à l’étranger comme à Monaco.
Les affaires criminelles en cours se déroulent également
en Suède. Les documents envoyés au Premier Ministre, Statsminister
Fredrik Reinfeldt, entre autres, sont publics, et d’intérêt
public.
Vu les renseignements cruciaux qui ont été fournis à ED
avant que son employée n’y continue sa carrière criminelle,
et vu ce que ED a fait desdits renseignements, elle devrait à mon
avis faire preuve d’humilité. En effet, avec recul, n’est-elle
pas contente que l’escroc n’eut le temps de représenter
son entreprise au Grimaldi Forum ? La Famille Grimaldi devrait l’être,
en tous cas.
Qui plus est, les personnes qui continuent de protéger
l’escroc en question ont montré qu’ils
ne reculent devant rien [Article 137 du Code pénal,
dernier alinéa].
Il semble que s’agissant de prendre mes conseils au sérieux,
les décisions de ED se sont jusqu’à présent
avérées assez désastreuses. En conviendra-t-elle
un jour?
ED a été avertie, a fait fi des avertissements, a été victime
de ses propres décisions, a contribué à ce que d’aucuns – notamment
ses clients – le soient à leur tour. Je constate qu’il
ne lui est toujours pas venu à l’esprit de me remercier
de ma mise en garde.
En anglais, vu l’ampleur internationale de cette affaire, et vu
la fadaise du courrier électronique d’hier, Monte-Carlo
Travel Market se résumerait en deux mots, qui illustrent son président: poor
judgement. À présent, il semble qu’elle réitère.
Soit ED fait preuve d’ignorance et d’incompétence,
au point qu’il convient de se demander comment on lui autorise
d’être entrepreneur, soit elle est complice. Dans les deux
cas, il est d’intérêt public de savoir ce qu’il
en est.
Reste en outre à savoir si vraiment, ED ait tout dit à son
avocat s’agissant de ce qu’elle sait. Je suis prêt à l’informer.
La présente ne constitue pas un courrier privé. Son contenu
n’est guère exhaustif.
Royaume de Suède, le 26 mars 2011
[l’original signé]
David Fristedt
PJ : Le courrier électronique en question, avec ses erreurs et
sa publicité.
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Mise à jour
le 10 novembre 2012
"We wish you a hearty welcome
in the Principality of Monaco.
André MUHLBERGER”
Sont-ce les derniers mots officiels du sis l’article 137
du Code pénal monégasque incriminé André MUHLBERGER
envers le FBI (http://www.fbinaa2012.mc/), qu’il n’eut
jamais la chance de saluer personnellement avant d’être
viré. Ce charmeur de femmes tolérant à ce
qu’il semble vis-à-vis la cocaïne, nommé sans
surprise par NARMINO et S.A.S. Albert II de Monaco « par
la Grace de Dieu », était responsable notamment de
la sécurité des invités Royaux lors du mariage
princier de 2011, malgré avertissements.
“ André Muhlberger, ex-directeur
de la Sûreté publique”. Lire
l’article
en entier ici.
BIMCAM
pourrait - cela va de soi - en écrire d’avantage.
Après cet article critique
sur André MUHLBERGER, la presse monégasque devrait
se sentir encouragée de continuer d’écrire,
notamment sur NARMINO. BIMCAM n’aurait alors pas besoin de
continuer de rapporter. Le Conseil de l’Europe constate que
Monaco ne remplit toujours pas les critères d’adhésion
s’agissant d’une presse libre.
Alors enfin, certains furent forcés de réaliser
le fait que le chef même de la police de Monaco constituait
un risque sur le plan de sécurité. Ceci est un fait
que BIMCAM a su depuis le début, et le logo est le fruit
de recherches solides. Le réveil sonne un peut tard, malheureusement.
Récemment, André MUHLBERGER se livra à du “forum
shopping” à Paris pour voir son surnom « The
Mule » enlevé de l’internet. Il s’agissait
d’une photo d’une mule avec son portrait par dessus.
Nonobstant le défaut légal requis ratione loci (note à GRECO
du Conseil de l’Europe) et à l’instar d’une
flagrante entrave à la justice à l’échelon
international, BIMCAM note que cet
ex-directeur de la police monégasque
n’a pas jugé bon de souhaiter l’enlèvement
du web de ses propres rapports de police contre NARMINO. Ceux-ci
figurent sous pièce jointe HFD12 dans l’affaire numéro
1226-12 devant la Cour Administrative Suprème du Royaume
de Suède.
Voici une photo de la police montée
suédoise offerte à BIMCAM. André MUHLBERGER
a de quoi s’expliquer devant les autorités suédoises
en raison de l’Affaire HUSSON / MALBRANCKE. Masquage noir
par BIMCAM. Photo inhérente au dossier suédois de
MUHLBERGER.
Comme affirmé sous le
sujet 13 de la présente
publication sis le web, un CV avec les noms de NARMINO et MUHLBERGER
n’est pas des meilleurs...
L’escroc condamné Charlotte SHAHZADA a beaucoup de
quoi remercier André MUHLBERGER, non moins depuis le
22 septembre 2012 (fin de la mise à l’épreuve).
La gratitude envers lui est également due par Marie BOOF,
le clerc d’huissier Corinne MÉTIVIER et un bon nombre
d’autres individus. Mais faire confiance à des criminels
n’a jamais été un bon choix : cette règle
est antérieure à la plus ancienne profession du monde,
au sujet duquel André MUHLBERGER récemment déclara,
de son plein gré, qu’aucune des prostituées à Monaco
ne serait d’Asie (qui inclut la Russie à l’est
de l’Oural tout comme le Moyen-Orient). Pourquoi diable crut-il
bon d’ajouter encore pareille salade en son panier?
Vu que André MUHLBERGER et l’escroc condamné Charlotte
SHAHZADA ne sont pas monégasques, ils peuvent désormais
profiter de leur mutuelle compagnie au Casino de Monte-Carlo.
“MIAMI
DUDE VS MIAMI DADE CRIMINAL RECORD”
Un des protecteurs de faible rang de
l’escroc condamné Charlotte SHAHZADA, l’ex chef
de la Police de Monaco, M. André MUHLBERGER, viré en
octobre 2012. Ici photographié en Floride avec encore une
femme mariée et ex-condamnée. Possible conversation
en anglais : Elle : Hi hon’ ! Lui : Hi Han’ ! (dimunitif
du nom de sa copine russe ou bielorusse) Jeu de mots qui sied.
Masquage (détail de la photo d’origine) par BIMCAM.
Le manque total de morale et de discernement d’André MUHLBERGER
est désormais célèbre. Rien que le fait de
s’imaginer qu’un tel individu ait été amené à assurer
la lourde responsabilité de la sécurité du
mariage princier anno 2011 est un thriller qui fait froid dans
le dos ; à s’ajouter aux scandales en cours, selons
les responsabilités qui incombent à l’incriminé Philippe
NARMINO (voir sujet 9), tâche ou tache sur le bureau du quatrième
procureur général de ce puant scandale, M. DRENO
(sujet 10).
Il serait dorénavant très naïf
de croire que seulement parce que Monaco voit un nouveau chef de
police arriver, l’ordre public y serait instauré par
ce fait. Rien ne saurait être plus loin de la vérité sous
le « règne » de NARMINO : les scandales vont
inexorablement voir le jour les uns après les autres, comme
prévu.
Un cadeau de la Police monégasque
aux mains en Suède,
qui résume le tout: André MUHLBERGER, à découvert
en Floride: Police, vice et Miami.
La foi en les loi et ordre s’est complètement
effondrée depuis que NARMINO fut mis sur son trône
en dépit des rapports de police sur sa personne et le sérieux
conseil du Directeur fondateur de Monaco Intelligence Service de
ne pas nommer NARMINO (voir sujet 10). Tel état de faits
a sans l’hombre d’un doute fait que certains officiers
publics se sont vus essayer leurs ailes en entrant par conséquent
dans le monde du crime, sous la protection de NARMINO, dans la
croyance ô combien naïve selon ce que si l’on
demeure loyal au groupe, on serait protégé. Voir
qui plus est la distinction entre membres stagiaires et membres à part
entière de ce que BIMCAM après le 2 novembre 2012
a baptisé le « Club 137 » (sujet 15).
NARMINO a montré la voie ver les abysses,
et dans l’intérêt de Monaco, il faut y mettre
un terme MAINTENANT! Le pays peut s’écrouler à n’importe
quel moment. Sa bonne réputation est le fruit d’un
long travail. Elle peut disparaître d’un moment à l’autre,
et les bâtisseurs de Monaco comme un lieu lucratif, sûr
pour les investisseurs sont morts. Le temps de la place au soleil
de Monaco pourrait disparaître à tout jamais, à défaut
de faire appliquer les lois de Monaco et ses obligations envers
le Conseil de l’Europe, et ce sans du tout tarder.
Dans sa lettre de démission, publiée à travers
le monde en même temps que la présente, l’ex-directeur
de la CIA, M. David PETRAEUS déclara: "I showed
extremely poor judgment" (j’ai fait preuve d’un
manque de discernement extrème) et "Such
behavior is unacceptable." (tel comportement est inacceptable).
Avis à Philippe
NARMINO sis sa lettre de démission préférablement
imminente dans l’intérêt de la sécurité nationale
de Monaco.
André MUHLBERGER
laissa derrière lui une image ternie de la Sûreté à Monaco.
Le directeur de Monte-Carlo Travel Market Mme
Elyse DANINO fut berné par André MUHLBERGER – sous
la supervision de Philippe NARMINO – à l’instar
de l’octroi d’un permis de travail chez elle pour
une non-résidente sous le nom d’une des victimes
principales de NARMINO. Mme DANINO donna néanmoins une
deuxième chance à l’escroc (Cf. supra).
Elle paya (alors) cher pour telle erreur, et pour avoir fait
fi des
avertissements. Or maintenant, André MUHLBERGER, juste
quelques semaines avant de se faire virer, veilla à ce
que l’escroc ne fût arrêtée avant la
fin de sa mise à l’épreuve. Il y a fort à parier
que André MUHLBERGER regrettera cela , façon «bonjour
les dégâts!». D’aucuns sont incorrigibles...
Aux
nouvelles recrues de la police monégasque: Ne jamais
laisser une arme sans attention!
Et ne pas laisser autrui s’immiscer
entre Vous et l’arme en question. Masquage (détail
de photo d’origine) et conseil de BIMCAM.
Vu, depuis le 12 octobre 2012, l’article
223-6 du Code pénal français à l’instar
du bug «informatik».
Mise à jour du 27 septembre 2013
MORT
ATROCE D’ANDRÉ MUHLBERGER EN FRANCE
MONACO: “ACCIDENT!”
PARIS-MATCH: “ASSASSINAT? ”
La rubrique « au revoir [...]» en haut de
page faisait référence à un procès
contre notamment Philippe Narmino dans lequel André Muhlberger
se devait de témoigner ; ce n’était à l’époque
pas un adieu.
Paris-Match
du 4 au 10 juillet 2013: «Un meurtre ?» http://www.parismatch.com/Royal-Blog/Monaco/Une-etrange-affaire-a-Monaco-520942 .
Le mot « assassinat » figure dans le numéro
imprimé. En haut à gauche, lorsque le corps d’André Muhlberger
est ramené à bord, un autre «accident » semble
se préparer : une corde relativement fine à l’eau
est prête à s’enrouler autour de l’hélice
de tribord, alors que la plage arrière est pleine de monde.
Fin juin 2013, André Muhlberger trouva
la mort, et ce d’une manière effroyable, à deux
encablures de la Plage des Pissarelles, à Cap d’Ail,
en France. Son corps n’aura pas été entièrement
examiné par le médecin légiste avant que
son ex-employeur monégasque, le Gouverment Princier qui
le vira récemment (Cf. supra), communiquait officiellement
qu’il s’agissait d’un accident. Comble du cynisme,
ce même État ordonna la teneur d’une messe
en l’Église Sainte-Dévote - église
particulièrement mal choisie pour qui connaissent leur
histoire monégasque – et qui eut lieu le 5 juillet
2013. Le tout avant même de connaître la position
de membres de famille du défunt, dont au moins un aurait
porté plainte, avec un second qui ferrait de même.
En effet, après le communiqué de Monaco, le Parquet
de Nice déclara n’écarter aucune piste.
André Muhlberger aurait été broyé par
l’hélice ou les hélices d’un navire
ou de tout mystérieux nef. Il aurait été mortellement
atteint à la tête et aux jambes.
La Gendarmerie Maritime de Toulon alla selon certaines sources
prendre le commandement du MRCC (Maritime Rescue Coordination
Center). C’est cette même Gendarmerie qui suivait
jadis en filature Philippe Narmino, connu - toujours selon le
dossier de André Muhlberger (HFD12, Aff. 1226-12, Cf.
supra) - de la plage des nudistes à deux encablures du
lieu de la mort de La Mule (surnom monégasque depuis 2007
confirmé par Paris-Match).
Le fait même pour Monaco de devancer le succésseur
de Monsieur le Procureur de la République à Nice Éric
de Montgolfier pratiquement avant même rigor mortis fait
que la piste accidentelle proclamée offciellement ainsi à la
hâte par un État étranger (!) laisse planer
des doutes à tout jamais, même avec une enquète
future que l’on espère parfaite des autorités
compétentes.
La mort d’André Muhlberger vient comme une aubaine
pour certains, accident ou non: un
témoin clé vient
d’être définitivement silencié, du
moins s’agissant de témoignages verbaux futurs.
En effet, la priorité numéro un – selon ses
propres dires vérifiés et légalement certifiés
de façon internationale - et le devoir (article
279 du Code pénal monégasque) de feu André Muhlberger était
du moins initialement de faire instruire les ô combien
inquiétants rapports
de polices contre Philippe Narmino.
Promu (ou forcé d’être promu) à la « Police
des Polices » en France après son renvoi de Monaco,
feu André Muhlberger aurait cependant eu hâte de
s’établir aux Philippines. Selon le Professeur en
Criminologie et Recherches Policières Leif
G.W. Persson , l’ex chef
de police et ex- recteur de l’Académie de la Police
suédoise Göran
Lindberg (actuellement en prison pour
notamment viols aggravés, torture, séquestration
et plus)
penserait à la même destination une fois sa peine
achevée (après avoir servi 2/3 de celle-ci), en
janvier 2014 http://www.expressen.se/nyheter/miljonar-efter-ar-i-fangelse/.
Toute relation future entre Göran Lindberg et Monaco se
doit d’être suivie à la vue des rapports de
police contre Philippe Narmino, et des doubles loyautés
de Patricia Husson, considérant les contacts inofficiels
et illégaux entre Monaco et la Police suédoise.
Le lien informatique à la présente publication
fut donné à Interpol en 2006. À la vue du
refus désormais définitif d’André Muhlberger
de répondre à la lettre en question (Cf. supra),
lettre signée d’une des victimes, il convient d’avoir à l’esprit
que la réponse d’Interpol figurait dans la lettre
destinée à André Muhlberger:
"You
should inform the police authorities in charge of the investigations (where you
have filed
your
theft report, probably
in Monaco).
If they then need international legal assistance, they dispose
of the right channels to request this, including Interpol network.”
L’autorité de police était alors et en effet
ce même feu André Muhlberger.
Le patron d’Interpol en cette même époque était
Jackie
Selebi, désormais
relaché de prison (pour raisons de santé) en dépit
d’une condamnation à 15 années de réclusion
criminelle.
Mort suspecte d’André MUHLBERGER
: Chaque arbre à hélices nécessite de l’huile.
Sur cette image, prise dans la salle des machines d’un
bateau de même taille qu’un Mangusta 72, il est temps
de faire le plein sur le réservoir d’un des arbres à hélices,
après inspection mandatée de par les lois internationales
(International Regulations for Preventing Collisions at Sea).
Les niveaux doivent être identiques: toute différence
démontre une anomalie. L’huile peut fuire lorsque
l’hélice d’un bateau a heurté un phoque,
un dauphin ou un être humain. La photo ci-dessus démontre
une urgence. Photo : BIMCAM, dont le Directeur de la Publication
et Rédacteur en Chef est spécifiquement habilité de
par la Marine de S.M. et Amiral Le Roi de Suède d’ester
dans les conflicts de tel genre. Dans cet exemple, l’huile
claire a été remplacée par de l’huile
usagée de moteurs principaux, pour illustrer avec clarté les
niveaux. Après un incident, si l’huile ad hoc manquerait
(pour cause de négligence, dans la plupart des cas) à bord,
toute huile est meilleure qu’aucune. De tels procédés
doivent être répertoriés dans le livre de
bord: des réservoirs d’huile pleins ne signifient
pas qu’il ne viennent d’être vidés (à cause
d’un accident) pour être remplis juste avant l’arrivée
de garde-côtes. Faire le plein avec – par exemple
- un Château Minuty n’est pas un bon choix, vu que
l’alcool est néfaste au lubrifiant. Cela pourrait
nénmoins se faire pour tromper des inspecteurs. Une photo
peut d’ailleurs être trompeuse. En effet, la photo
ci-dessus ne montre pas le réservoir d’huile du
moteur de tribord.
A suivre...
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